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Une nouvelle structure a ouvert ses portes ce jeudi 17 novembre à Luxembourg : Tero House17 crée un nouveau business club, le B17, et ouvre à tous un restaurant aux produits bio et régionaux.
Le nouveau rendez-vous du business Made in Luxembourg ce sera ici : 17 rue du Nord.
Tout est là pour satisfaire ceux qui souhaiteraient prendre leurs rendez-vous d’affaires en ville et networker efficacement : un magnifique lieu en plein centre, un bar-restaurant de haute voltige et une terrasse qui surplombe la vallée, des salles de réunion avec vues d’exception, des événements hebdomadaires pour les membres, un bar sous les toits et un fumoir à cigares…
Déjà vu ? Pas tout à fait
Si la magnifique demeure classée de 960 m2 avait déjà été exploitée dans un esprit similaire, désormais, celle qui était connue sous le nom de House17 se nomme Tero House17. Elle a été entièrement rénovée par le cabinet d’architecte bruxellois Michel Penneman. S’il plane un air de déjà vu dans le concept, le CEO du groupe Tero, Nicolas Lhoist explique en quoi cette adresse sera différente de la précédente : « Les 5 salles de réunion et de séminaires ne seront pas uniquement accessibles aux membres, qui bénéficieront d’un tarif préférentiel sur la location, mais aussi au grand public. Pour les plus grands événements, nous proposons le River House (anciennement Knokke Out) sur les rives de Clausen. »
Une « vraie vie de club »
« Le restaurant reste ouvert au public toute la semaine excepté le mercredi soir (du lundi au vendredi midi et tous les soirs sauf mercredi et dimanche, ndlr), jour des events destinés aux membres. Nous souhaitons instaurer une vraie vie de club. C’est pourquoi nous avons créé le B17, fusion des clubs luxembourgeois B19 et H17, fort de 600 membres désormais. Nous avons pour ambition de doubler ce nombre d’ici trois ans. Nous allons proposer des conférences tous sujets confondus, tous les 15 jours. Par exemple la semaine prochaine, le CEO de RTL sera notre invité. »
Le restaurant, sobre et actuel, chaleureux et discret, est l’atout-clef de cette magnifique demeure dédiée à l’événementiel et au business. « Il sera agréable, après une conférence par exemple, de boire un verre ou réserver une belle table avec des collaborateurs ou des personnes que l’on a rencontrées dans cet univers de networking », détaille l’entrepreneur.


Un restaurant « de la ferme à l’assiette »
« Nous prêtons aussi une attention particulière au restaurant et à la qualité de ses produits. C’est pourquoi nous souhaitons travailler en bio, avec les circuits les plus courts possibles. Mon frère Arthur s’occupe de toute cette partie « de la ferme à l’assiette » : nous avons notamment une ferme en Belgique, à Rochefort à une heure d’ici, de laquelle nous faisons venir nos produits. » Sur place en effet, sont cultivés légumes, fruits, aromates… et sont élevés les vaches Salers, les cochons Duroc, les moutons Ardennais, les poules… « Nous donnons la priorité aux circuits courts et à la qualité. Nos chefs peuvent faire appel à d’autres fermes et producteurs locaux et nous sommes en train de prospecter pour nous appuyer aussi sur des productions luxembourgeoises. »
Tartare de veau et bœuf au yuzu
Et les assiettes ne trompent pas. Prenez le tartare de veau mi-cuit à la citronnelle, pickles de shiitaké, crème de céleri rave fumé : choisi dans la section « entrées à partager, ou pas », c’est si bon que vous aurez peut-être envie de le garder pour vous ! En revanche « l’assiette de salaison de notre ferme » est idéale pour faire du social, ainsi que les mignons « mini-tacos de volaille fumée, guacamole à la coriandre, pickles de légumes », ou le houmous du moment.
Côté plats : amateurs de viande rouge, sautez sur l’entrecôte de bœuf, chimichurri, mayonnaise au yuzu, olives kalamata et riz soufflé. Servie cuite en sorte de tagliata, l’entrecôte, cuite parfaitement selon votre demande, est d’une tendreté sans égal. Les saveurs délicatement citronnées du yuzu se marient parfaitement avec le persil du chimichurri.
A la carte du bœuf donc, de Salers, que l’on trouve aussi dans le burger, de la volaille, du porc mais aussi du dos de cabillaud et du poulpe (magnifiquement présenté) et pour les végétariens, un risotto aux girolles. De quoi satisfaire le plus grand nombre avec des plats à chaque fois remarquablement soignés.
Entrées entre 12 et 22 euros, plats entre 24 et 28 euros, accompagnements entre 6 et 8 euros, desserts 12 euros.



Plus d’informations : Tero House17
Photos : Tero House17